La transcommunication

La transcommunication (que j’appellerai transcom par la suite) a commencé à faire son apparition à la fin de la seconde guerre mondiale. A mon humble avis, la pratique d’enregistrement de voix par le biais de matériel électronique a débuté des l’existence d’outils à base de magnétique.

Mais avant de commencer par son histoire, regardons la définition de la transcom par un organisme international l’ITC, qui en a fait sa vocation :
D’abord ils définissent comme transcom toute communication entre simple mortel dira t-on est les entités éthériques. Le terme éthériques peut changer en fonction des croyances ou de l’emploi des mots. On peut utiliser astral tout comme spirituel.

Donc, cette définition englobe de manière générale, spiritisme, chamanisme etc… Cependant, dans transcom, il y a le mot communication. La communication étant un échange par le biais de nos sens. Cela veut dire que pour qu’il est transcom il faut une réponse de la part de l’entité. En toute logique et selon cette définition, toute signe après toute invocation ou évocation.

Nous nous cantonnerons au fait que la transcom se fait par le biais d’outils électroniques et que la communication se fait par le langage.

Nous ne cessons d’entendre ces histoires parfois aberrantes, parfois ahurissantes de voix étrange sur cassette, ou des histoires de fantômes qui parlent sur un écran de télévisions.

Quasiment tous les journaux en ont parlé. En passant par Paris Match pour le livre Les morts nous parlent pour aller jusqu’au Figaro ainsi que la presse à scandale, sources d’informations pour les « men in black ».

Le premier enregistrement connu fut fais en 1901, par un ethnologue américain, Waldemar Bogora, qui alla assister à une invocation par un chaman de la tribu des Tchouktchi. Bogoras entendit des voix remplirent la cabane au fur et à mesure de l’avancement du rituel. Vrai ou faux, on n’en sait rien.
Bogoras écrivit ceci après la session :
" J’ai mis en place mon équipement afin de pouvoir enregistrer sans lumière. La shaman s’assit dans le coin le plus éloigné de la pièce. Quand la lumière s’éteignit, les esprits sont apparus après une certaine hésitation et en suivant le vouloir du shaman, ils ont parlé dans la corne du phonographe. "

Apparemment même dans les notes de Thomas Alva Edison, inventeur de l’ampoule et de la première caméra eut quelques expériences dans ce domaine.

Passons directement jusqu’aux années 1950 avec les aventure du père Ernetti et Gemelli. Les deux (il parait) inventeur du chronographe, machine capable de montrer les images du passé du futur et du présent et enfermé dans les sous sol du Vatican.
Bref, le 15 septembre 1952, pendant que Gemelli et Ernetti enregistraient des chants grégoriens, un fil du magnétophone n’arrêtait pas de casser. Implorant son défunt père pour son aide, ils eurent la surprise de l’entendre en écoutant les enregistrements plus tard : « bien sûr que je t’aiderais, je suis toujours avec toi ».

Passons ensuite avec les pionniers du moins ceux qui ont rendu cela publique voir même presque scientifique. Friedrich Juergenson qui entendit sa mère alors qu’il enregistrait des oiseaux, Docteur Konstantin Raudive qui enregistra plus de 20 000 voix différentes.

Plus tard, à travers différents transcommunicateurs tel que George et Jeannette Meek, les esprits développèrent à travers eux des machines capables de rendre les voix plus claires (le spiricom ) et même voir les mondes des esprits. Quoi que cette machine, j’ai un doute car sinon, je pense qu’on y accorderait plus d’importance si elle fonctionnait vraiment. On peut trouver les schémas de ces machines sur le site de l’ITC mais ils sont incomplets.

Aujourd’hui la transcom n’est plus aussi à la mode qu’avant mais même le Vatican s’intéresse à cette discipline qu’elle ne considère pas comme du spiritisme.

Il faut juste savoir que de nombreuses personne pratiquant la transcom ont dû s’arrêter car dés qu’ils tournaient le bouton "on", c’était des demandes d’aide et de souffrance par milliers qui se pressaient dans leur haut-parleurs.

Aujourd’hui on ne peut pas parler de transcom sans parler du technicien, entité éthérique n’ayant jamais été incarnée qui délivre de temps en temps des messages de paix. Elle se manifeste depuis 1996. On peut entendre un enregistrement de sa voix sur le site de l’ITC qui dure 14 secondes. Personnellement je trouve que cela ressemble à la voix de Michael Jackson.

Les techniques sont nombreuses pour enregistrer des voix. Un simple recorder faisant l’affaire. En passant par l’enregistrement par cassette ou même le pc. Il faut savoir que les voix sont particulièrement faibles et qu’il est préférable d’enregistrer dans un environnement avec des bruits de fonds pas très forts. Il faut aussi de préférence avoir une machine capable de faire passer la bande en accélérée ou au ralentie. Apparemment on peut tout aussi bien en faire en numérique qu’en analogique.

Et c’est là qu’on arrive à une situation intrigante. En effet, pour les spirites les machines électriques handicapent les esprits. De plus les explications sur le monde de l’après vie sont assez différentes. Leurs identités en elles-mêmes peuvent être perçu comme totalement différente. En effet, l’approche de la transcom vers le monde des esprits est bien plus matérialiste que celle des spirites. Pour un exemple précis, il est assez rare d’entendre parler de dieu chez les transcoms alors que cela arrive souvent chez les spirites. Adaptions des esprits pour mieux nous parler ?

Pourquoi ne pas faire en sorte que tous les dires concordes, pourquoi ne pas demander d’un coté, si l’autre côté dit la vérité. Ou alors, est ce deux manières différentes vers un même but qui ne tapent pas dans le même endroits ? Supposons que les deux soient réels, est-ce un monde qui sépare les esprits de ses entités tout comme un monde nous sépare ? Alors pourquoi nos morts nous parlent des deux côtés ?