Depuis des dizaines d'années John J. Williams recherche et enquête avidement sur des phénomènes étranges, inhabituels et inexpliqués.
En 1998, lors d'une randonnée, il a trouvé une pierre mystérieuse avec, incrusté dedans, quelque chose qui ressemblait a composant électronique fait par l'homme. Sur le site de l’auteur (voir fin d’article) on peut lire le récit de ses tentatives et de ses tribulations pour avertir le monde de sa découverte (baptisée «petradoxe») afin que cette pierre soit analysée par des professionnels (ingénieur ou technicien en électricité ou électronique, géologue,…).
Apparemment, trouver un vrai objet n'est pas suffisant pour qu'il soit étudié.
Dimensions et propriétés observées
Le composant implanté dans ce petradoxe serait, à première vue un connecteur (voir les photos sur son site).
Le petradoxe est solide, c'est du quartz naturel et du feldspath (il y a très peu de mica).
Le petradoxe n'est ni une accrétion, ni une concrétion ni une pierre ponce ou un fossile.
Il ne contient pas de résine, de ciment, de colle, de calcaire, de mortier ou d'autres adjuvants liants non granitiques. Il est très dur et il aurait selon les estimations, au moins 100 000 ans.
Avec une marge d'erreur de 0,2 mm pour toutes les dimensions, le petradoxe fait 61 mm de long, 38 mm de large (au point le plus large) et 22 mm de haut (en omettant les pointes). D'après une balance à poudre, le petradoxe pèse près de 71 grammes.
Les pointes du composant du petradoxe sont en matériau conducteur (l’auteur suppose qu'il s'agit de métal) et ressemblent à de l'acier.
La base du composant est faite dans une matière ressemblant à de la céramique blanche ou à de la pierre. Ce n'est pas du plastique, ni du caoutchouc, ni du bois ou du métal.
Le composant en lui-même fait 8 mm de diamètre ; ses pointes font 3 mm de haut, l'intervalle entre elles est de 2,5 mm et leur épaisseur est de 1 mm.
L'arrondi au bout des pointes montre une très longue usure ; ainsi la longueur de 3 mm n'est peut-être pas la taille originelle de ces pointes. Elles semblent toutes avoir la même dimension (le grand angle de l'appareil photo numérique déforme la taille des objets proches par rapport a ceux qui sont éloignés).
La découverte de l'objet fabriqué
Pour des raisons de sécurité, l’auteur n’a aucune trace écrite de l'endroit exact ou où il a trouvé son petradoxe.
Toutefois, il dit l’avoir trouvé dans la nature, à au moins 7 mètres du sentier le plus proche (qui était boueux et à peine visible), dans une zone éloignée (à ce qu’il en savait) des villes, de complexes industriels, d'usines électriques ou électroniques, d'installations nucléaires, d'aéroports ou de terrains militaires.
Le sol aux alentours n'avait pas été remué. Il marchait en short. Un de ses instruments indiquait quelque chose de l'autre côté d'un buisson épais. Sans réfléchir il a pensé que le meilleur moyen d'atteindre cet endroit serait de passer dans les buissons. Cependant, quand il essaya, le buisson a commencé à s'enfoncer et à égratigner ses jambes. Pour en sortir il a vigoureusement dégagé ses pieds et est sorti en trébuchant de l'autre côté. Il a regardé ses chevilles pour constater les dégâts et c'est là qu’il a remarqué le petradoxe, à quelques centimètres de son talon.
La seule chose qu’il voyait du composant était le bout de ses trois pointes. Il a immédiatement reconnu le modèle utilisé pour les connecteurs électriques et l’a ramassé.
C'était vraiment une pierre qu’il a ramassé car elle était humide, sale et avait quelques brins de racine qui en sortaient (cela montre qu'elle avait été entièrement enfouie dans ou près du buisson). Il ne connaît ni la profondeur, ni le lieu, ni le type de sol ou elle a été enterrée.
Il est en partie à la retraite (vétéran infirme) aujourd'hui ; jusqu'à ce que sa découverte soit officiellement reconnue comme un objet fabriqué et qu'ainsi des scientifiques veuillent bien examiner le site, il ne peux donner du temps ou de l'argent pour le sécuriser.