Max_Lord Rang: Administrateur
Nombre de messages : 673 Localisation : France, Rouen, 76 (Seine-Maritime) Date d'inscription : 11/02/2005
| Sujet: Beaux poèmes *( 1 ) Mar 22 Fév à 21:37 | |
| Ces poèmes on été posté par: votrechipie Modérateur/Aide
Baiser
Nos chemins se sont croisés Nos yeux se sont accrochés
Ton sourire est devenu mon soleil Ta tendresse une grande merveille.
Je t'offre dans mes mains Mille baisers câlins Pour que jamais tu n'en sois privé
Mon Amour
Tout a commencé quand nos regards se sont croisés, Tu a renversé mon coeur, tu l'a fait chaviré. Un vent d'amour m'a fait perdre la tête Notre histoire est née pour ne pas qu'elle s'arrête. Notre amour grandit de jour en jour Je te laisse entrer et ferme mon coeur à double tour.
Tout deviens beau et merveilleux Quand je vais me noyer au large de tes yeux. Des sentiments encore ignorés se sont crées Il faut les conserver et ne jamais les briser. Dans tes bras je pars m'envoler Dans un monde doux et sucré.
La flamme de mes yeux s'est allumée Le soir ou nos lèvres se sont touchées. Aujourd'hui le destin nous appartient A nous seul de savoir prendre le même chemin. Mon amour pour toi est le plus grand Je n'ai aucun doute sur mes sentiments.
Je t'aime.
Toi, dans un samedi d'automne; Avec un simple baiser à conquis mon coeur, A changer ma vie d'un ton monotone, Et me fais vivre le bonheur!
Aujourd'hui, malgré les interdits, Et le distance "Je t'aime" Je rêve, avec toi de faire ma vie, Et comme pour Quasimodo être ta bohème!
Le matin, je pense à toi, Et toute la journée, j'ai envie d'être dans tes bras Mes pensées et mon coeur sont à toi, Ma vie ne rime à rien sans tes bras!
Depuis, que tu es entré dans ma vie, Tu me fais découvrir la vie en rose, Et à fait renaître mes rêves et mes envies Mon coeur devant toi, est en pause.
Tu m'es plus précieux que l'or, Je te veux pour l'éternité. Je t'aime, je t'adore, Et me comble de ta gentillesse et ta beauté
Ecris ton nom
Écris ton nom à côté du mien. C'est lisible. C'est simple : Nous ne sommes pas un couple d'amoureux. Bientôt nous partirons et chanterons, Légèrement appuyés l'un sur l'autre… Je ne dirais plus rien, après. Tu diras en cet instant, Nous sommes ensemble en terre étrangère. Ceci est l'endroit où je me tiens et attends. Ce qui viendra, cela ne compte pas. Nous buvions et nous parlions Jusqu'à chanter : entends-tu encore ? From silent night. Vous me tuez si doucement. Les feuillage est vivant. Mon poète préféré, C'est le vent. Il est aussi anonyme Que nous, lorsque tu me disais : Ecris ton nom à côté du mien. Nous restons des étrangers – c'est simple – pour ceux qui lisent les noms.
La plus blanche des colombes
La plus blanche des colombes s'est envolée : j'ai Le droit de t'aimer ! Dans la fenêtre discrète hésite la porte discrète. L'arbre silencieux est entré dans la pièce silencieuse. Tu es proche comme si tu ne demeurais pas ici. Dans ma main tu prends la grande fleur : elle n'est pas blanche, pas bleue, pas rouge – pourtant, tu la prends. Où jamais elle ne fut, elle restera toujours. Nous ne fûmes jamais, nous resterons donc chez elle.
Mes mots ne m'obéissent pas
Mes mots ne m'obéissent pas Sitôt que je les réécoute. Mon ciel S'étire pour attendre le tien Bientôt il va éclater, je respire Déjà par saccades, mon pouls Est sept fois plus rapide, Il émet sans cesse Des messages à peine codés.
Requête
Envoie-moi un cheveu de toi Long comme ça. Comme une corde. Envoie-moi un rêve de toi Ce que tu rêves de moi Le dernier cri de plaisir et un cristal de sueur. Viens. Toute La nuit je dors sur tes lettres J'y dors comme sur des nuages déchiquetés. Tout vient du cerveau. Envoie-moi une vieille dent, une demi-oreille, Tout ce que tu possèdes. Et envoie-moi un bonjour Comme adressé dans un baiser. Ton odeur, j'aimerais pleurer autrement. Renvoie-moi un petit quelque chose de moi J'en ai besoin pour t'aimer.
Résurrection
La chambre des morts s'ouvre. Et tu exécutes la loi, des ciseaux coupent les tendons, la bouche raccourcit les lèvres dans l'espace d'un fils court la ficelle aux fentes du visage. Le héron en morceaux descend stable sur le fil de sperme. Un fleuve vit dans le feuillage, il écoute les amants qui s'écartent, le faucon. Ton monde, délicieux, tombe dans l'eau. Tu te réveilles dans l'amour.
Trop
Reste auprès de moi comme si tu étais là pour moi, pour longtemps laisse tes cheveux pousser en s'entremêlant aux miens. Aime-moi comme si c'était bon pour toi comme si nous donnions notre vie dans la vie. Supporte-moi comme si le poids à porter n'était pas trop lourd veille sur moi comme si j'étais perdu. Tu as perdu ton nom
Tu as perdu ton nom
mais le monde accourt pour t'en offrir un choix magnifique Tu secoues la tête mais ton bien-aimé pour toi un jour dans la meule de foin trouva l'aiguille écoute : déjà il t'appelle...
J'ai perdu une amie
J'ai perdu une amie, pas plus tôt qu'aujourd'hui, J'en ai encore la main et le cœur qui tremblent. J'ai perdu une amie, pas plus tôt qu'à midi, Elle s'est éloignée sans regret il me semble.
J'ai perdu une amie ; celle qui fesait ma vie, Celle qui avait effacé tous mes soucis Celle qui avait pourchassé tous mes ennuis. J'ai perdu une amie ; mes yeux en pleurent la nuit.
J'ai perdu une amie, mais je la croise des fois, Son sourire et ses yeux me blessent plus qu'un glaive. Je n'ai même plus la force de lui dire tout ça. J'ai perdu une amie, je préfère qu'on m'achève.
Si je l'ai perdu, pourquoi surgit-elle la nuit ? Prend-elle un malin plaisir à me rendre fou ? S'est elle transformée en mon pire ennemi ? J'ai perdu une amie : c'est son choix et c'est tout.
J'ai perdu une amie, je veux oublier son nom, Enterré son souvenir, nier le bonheur Qu'elle a semé dans le long sillon de mon cœur ! J'ai perdu une amie : c'était la seule solution.
Mon amie, au revoir, je sais que tu n'es pas morte, Mais tu ne veux plus me voir, ni ouvrir ta porte. Je crois que je t'aimais, mais tu as choisi. J'ai perdu une amie ; c'est dommage mais tanpis.
I'm sorry - Je suis désolé
C'est en te decouvrant que j'ai connu la joie, C'est en te trahissant que j'ai senti le froid, C'est en me rattrapant que j'ai appri la honte, C'est en me delaissant que je me suis rendu compte Que la vie sans toi, c'est plus dur que les Enfers Que la vie sans toi, c'est un penitencier de fer.
Chaque seconde me rend plus faible et moins fort, Chaque minute me plonge dans de grands remords, Chaque heure ecoute ma plainte sans jugement Chaque jour me demande mes vrais sentiments Et non les mensonges , tirés de mes songes Que j'exprime avec facilité, loin de mes rimes.
Efface cette faute de ta belle memoire, Efface les fausses notes de ton miroir, Ecoute la vrai musique que joue mon cœur, Ecoute sa voix antique, pur instant de bonheur Lorsqu'il n'a pas la langue fourchue il crie Cet amour enfoui en lui, que tu as banni…
La vie contre la mort
Aprés une étude travaillé de mes poèmes On m'a reproché d'etre trop pessimiste, Mais si j'ai du mal à y écrire " je vous aime" C'est que au fond de moi, je ne suis pas artiste. Car un vrai écrivain , jouerait avec les mots, Avec les sons, avec les métaphores qu'il inventerait, Et surtout , mettrait plus d'une heure pour un recto verso, Et une journée entière pour achever ses débilités. Tout le contraire de moi, car eux ont de l'or Dans leurs mains et surtout dans leurs poches Car ils doivent bien vivre et continuer leurs efforts, Pour qu'on parle d'eux dans les livres des mioches. Moi, si j'écris, c'est pour exprimer sur papier, Les paroles, les souhaits et les souffrances de mon coeur, Car ce malheureux n'a pas eu la chance de parler, Et je ferai tout pour qu'il réussisse avant qu'il ne meurt. Ce qui est magique avec lui, c'est que chaque son Chaque parole, me fait rêver , me chagrine, Ou bien m'ouvre les yeux sur l'amour , la trahison, Tel un enfant devant une gigantesque vitrine. Ah!L'amour, l'amour paternel, maternel, fraternel, Ou l'amour tout simplement pour une jolie demoiselle? L'amour est il en nous dés notre premiere seconde? Ou on l'attrape au fur et à mesure qu'on vit dans ce monde? Je ne sais pas, et je ne saurais jamais, Car notre tendre et chère destinée , Ne nous laissera pas réfléchir sur notre terrible sort Car chacun de nous entendra bientôt le cri de la mort. Le cri de la mort vous dites? Quel coincidence! Oui, le nouveau -né crie le jour de sa naissance, Et la mort aussi pour cloturé notre espérance. Serait ce un signal sonore donné à un sablier immense, Qui marquerait au premier grain de sable, le début, Et au dernier, la fin de la vie et le retour avec les déchus. Ou un appel au Maitre des Temps qui d'en haut , N'attendrait que notre murmure pour brancher Le fil électrique de notre vie et l'attendu"bravo" De la mort , pour que ce fil se sépare en deux moitiés...
Si seulement...
Comme moi je ne suis que d'ici, Et que toi tu es venue de si loin; Je reçois chaque jour de moins en moins, Ta chaleur qui, jadis , m'avait envahit. Pourtant , je sens que nos esprits , Se rapprochent chaque jour qui passe, Mais en un instant , tout ce casse, Et je me sens ,alors si maudit, Et tu ne me vois pas Et tu ne me vois pas...
J'ai des envies de magies noires Qui te feront tourner la tête vers moi , Mais je ne suis pas plus sorcier que toi, Et mon coeur chavire et tu brises mon espoir. J'ai pas envie de te perdre dans cet endroit, Je voudrai bien que tu m'écoutes, Mais je suis là le coeur qui bat, Et qui m'éloigne, jour après jour , de ta route. Mais tu ne me vois pas Mais tu ne me vois pas.............
Et si ton coeur me semble si fermé, Je suis sûr qu'il est libre, Et ni les volcans , ni les monts , ni le Tibre, Ne m'empêcheront , perpetuellement de t'aimer. Mais tu ne me vois pas Mais tu ne me vois pas ..................
Songe céleste
Je voudrai pouvoir voler jusqu'aux nuages Pour fuir, juste pour fuir lorque mon coeur le veut Etre éloigné de tout , loin de mon entourage, Et d'en haut , les regarder comme si j'étais Dieu.
Gràce à ce pouvoir divin, je dicterai mots Phrases et poèmes en entrant dans leurs esprits. Je parlerai aussi du temps qu'il fait là-haut, Et je leur dirai que sans eux je n'ai plus de vie.
Mais lorque je verrai cette fille que j'aime Je ne pourrai m'empecher de pleurer un peu, Cette seule larme illustrera ma peine; Et la pluie tombera durant une heure ou deux.
Mais pour l'instant je suis obligé de vivre Dans cette prison, une prison de douleur, Dont tous les murs ont ce parfum qui m'enivre, Un parfum si charmant qui a fait mon bonheur.
J'espere seulement que sur mon nuage , Fait de plumes, de roses, de pêches et d'or, Je pourrai lentement frôler son visage, Et veiller, éveillé, sur elle quand elle dort.
Ces poèmes on été posté par: votrechipie Modérateur/Aide | |
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